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Caroline Diament nude
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L’Initiation sous les Figuiers À quinze ans, alors que mes camarades rêvaient de romances chastes, je m’abandonnais déjà aux jeux interdits. Un après-midi d’été torride, cachée sous les larges feuilles d’un figuier, j’ai découvert les délices de la volupté entre les mains expertes du jeune jardinier italien. « Tes courbes sont plus douces que les fruits mûrs, Caroline », murmurait-il en italien, sa bouche parcourant mon corps avec une ferveur presque religieuse. Le jus des figues écrasées se mêlait à notre sueur, et je compris ce jour-là que le péché avait un goût divin. Paris, les Années Folles avant l’Heure Quand je débarquai à Paris, ce ne fut pas pour devenir une petite bourgeoise, mais pour être la muse des artistes et le cauchemar des maris. Dans l’atelier enfumé d’un peintre maudit, j’ai posé nue entre deux bouteilles d’absinthe. « Reste immobile comme une statue, mais laisse tes yeux brûler comme des braises », me suppliait-il. Je n’obéis pas – comment rester immobile quand ses pinceaux se firent plus audacieux que ses mains ? La toile finit dans un collectionneur privé, mais mes cris, eux, résonnent encore sous les poutres de cette mansarde. Un Lieu Insolite ? La Tour Eiffel, bien sûr… Minuit, 1923. Un aviateur revenu de la guerre m’emmena là-haut, là où Paris n’est plus qu’un tapis de lumières. « Tu veux toucher les étoiles ? » me demanda-t-il en défaisant ma robe. Le vent glacé mordait ma peau nue, mais ses lèvres brûlantes me gardaient au bord de l’extase. Quand un gardien nous surprit, l’homme n’eut que le temps de cacher mon corps tremblant sous son manteau – mais pas mes gémissements, emportés par la brise comme une chanson obscène. Les Plaisirs en Escadrille J’ai aimé des femmes aux cheveux coupés comme des garçons, des poètes qui écrivaient des sonnets sur ma nuque en sueur, un clown russe qui me fit l’amour dans sa roulotte, son nez rouge toujours accroché au bout de… Mais certaines histoires sont trop folles même pour ces mémoires. Aujourd’hui, la Flamme Persiste Mes cheveux sont blancs, mais mes souvenirs sont pourpres. Quand je passe ma langue sur mes lèvres fripées, je retrouve le goût de tous ces baisers. La nuit, parfois, je crois entendre le rire de mes amants disparus – et mon corps de cent ans frémit encore comme une jeune fille.Videos of Caroline Diament nude
,« Venise, le Moine et les Péchés en Gondole »
« Venise sentait le sel, la pourriture et le musc ce soir-là… »
C’était l’automne 1925. J’avais fui Paris après un scandale impliquant un ministre et des diamants cachés dans des endroits… impolitiques. Sous le pseudonyme de Contessa Diamante, je logeais dans un palazzo dont les murs suintaient les secrets. C’est là que je l’ai rencontré : Fra Lorenzo, ancien frère dominicain, alors guide touristique pour dames anglaises en mal d’aventures.
La Confession dans l’Ombre
Il me repéra d’abord à la table d’un café, où je lisais Les Onze Mille Verges en sirotant un Bellini. « Un livre qui ferait rougir le Diable lui-même, madame », murmura-t-il en italien, ses doigts effleurant ma nuque. Je reconnus tout de suite ces mains – trop fines pour un ouvrier, trop nerveuses pour un homme du monde. Des mains d’exorciste, habituées à chasser les démons… ou à les invoquer.
Le Cloître Désacralisé
Cette nuit-là, il m’emmena dans un lieu improbable : l’ancien couvent de San Zaccaria, désaffecté et peuplé de chats noirs. Entre les fresques de saints aux yeux levés au ciel, il me poussa contre un bénitier encore empli d’eau bénite. « Priez, ma sœur égarée », ironisa-t-il en relevant mes jupes. Je lui répondis en latin – pas des psaumes, mais les vers lubriques de Pétrone. L’écho de nos rires se mêla aux chants des nonnes d’à côté, ignorant que leur sanctuaire voisin abritait une sacrilège mascarade.
La Gondole Fantôme
Mais notre chef-d’œuvre fut ailleurs. À l’aube, nous volâmes une gondole abandonnée. Lorenzo rameait lentement vers le canal obscur des Fondamenta Nove, tandis que je chevauchais son corps défroqué sous un châle en soie. « Dieu vous voit », haleta-t-il quand la gondole commença à tanguer dangereusement. « Mais Dieu est un voyeur, mon frère », répliquai-je, sentant l’eau glacée de la lagune nous lécher les pieds. Un pêcheur nous surprit au petit jour – il croisa son regard et s’enfuit en faisant le signe de croix.
L’Après-Aventure
Au matin, Lorenzo partit pour l’Amérique du Sud (soi-disant pour « évangéliser les indigènes »). Moi, je gardai deux souvenirs : son rosaire enroulé autour de mon poignet gauche… et une esquisse griffonnée par un artiste de rue nous ayant aperçus, intitulée « La Chute des Anges ».
« Tous mes amants furent des prières vivantes,
Mais lui fut ma messe noire,
Mon cantique de chair et de velours. »
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