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Elle,
Jeanne, n'a pas cherché la lumière du monde académique. Elle n'a pas
voulu se façonner selon les canons de la bienséance, ni de la beauté
bourgeoise. Non. Sa vie, j'imagine, a été un torrent de sensations, un
débordement de la conscience. Des expériences, à coup sûr, qui
n'auraient pas trouvé leur place dans le salon mondain, des écarts, des
excès, une transgression constante du savoir-vivre.
Je la sens, cette soif de transgression, une volonté de sortir des cadres, de se confronter à l'inconnu, à l'obscène, à l'absurde. Peut-être était-ce une recherche de l'inconnu, de la violence latente en elle, un besoin impérieux de dépasser les limites imposées, de s'offrir à la force écrasante du réel.
Elle s'est jetée, je le pressens, dans le bain des passions, dans le tourbillon des rencontres. Des amours, peut-être, brûlantes et implacables, comme un feu dévorant qui a laissé des marques profondes. Des déceptions, j'en suis certain. Des failles, des crevasses dans cette apparente solidité, comme des éruptions de la noirceur. Des instants de splendeur, éclairant le mystère, et d'autres plongés dans l'ombre, l'angoisse. Une âme dévorée par la danse du désir et de la déception. Un mystère, un abîme à explorer.
Son
corps, Jeanne, cet autre moi-même. Son corps comme un cri, une
promesse, une menace, une dévotion étrange à la matière même.
J'envisage avec une étrange fascination les moments où elle s'est mise
en jeu. Ses choix, ses mises en scène. Elle a dansé dans le chaos, à
l'image de l'existence, comme une mélodie discordante, mais
passionnante, qui m'attire et me révolte.
Et la fin? Un silence. Un vide que je ne connais pas. Ce néant que je crains et désire. Un effacement dans les profondeurs du temps. Mais l'écho de cette existence, ces pulsations de la vie, résonnent toujours dans mes pensées. Jeanne Cherhal, une énigme. Une promesse de l'obscurité, de l'impalpable, de la pure présence. Un autre fragment de ce mystère que je, Georges Bataille, continue à dévorer et à explorer.

Je la sens, cette soif de transgression, une volonté de sortir des cadres, de se confronter à l'inconnu, à l'obscène, à l'absurde. Peut-être était-ce une recherche de l'inconnu, de la violence latente en elle, un besoin impérieux de dépasser les limites imposées, de s'offrir à la force écrasante du réel.
Elle s'est jetée, je le pressens, dans le bain des passions, dans le tourbillon des rencontres. Des amours, peut-être, brûlantes et implacables, comme un feu dévorant qui a laissé des marques profondes. Des déceptions, j'en suis certain. Des failles, des crevasses dans cette apparente solidité, comme des éruptions de la noirceur. Des instants de splendeur, éclairant le mystère, et d'autres plongés dans l'ombre, l'angoisse. Une âme dévorée par la danse du désir et de la déception. Un mystère, un abîme à explorer.

Et la fin? Un silence. Un vide que je ne connais pas. Ce néant que je crains et désire. Un effacement dans les profondeurs du temps. Mais l'écho de cette existence, ces pulsations de la vie, résonnent toujours dans mes pensées. Jeanne Cherhal, une énigme. Une promesse de l'obscurité, de l'impalpable, de la pure présence. Un autre fragment de ce mystère que je, Georges Bataille, continue à dévorer et à explorer.
Jeanne Cohendy
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