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My name is Dana Morosini, but the world knows me as Dana Reeve. My life has been a waltz between light and dark, between bursts of laughter and tears stifled in the pillow. If I had to tell it, I would do so without embellishment, because I have always believed that the truth, even raw, is more beautiful than golden lies.
Je m’appelle Dana Morosini, mais le monde me connaît sous le nom de Dana Reeve. Ma vie a été une valse entre la lumière et l’ombre, entre les éclats de rire et les larmes étouffées dans l’oreiller. Si je devais la raconter, je le ferais sans fard, car j’ai toujours cru que la vérité, même crue, était plus belle que les mensonges dorés.
I was born on March 17, 1961, in Teaneck, New Jersey, a small, unassuming town where I learned early on that life is savored like ripe fruit, before it rots. As a teenager, I dreamed of theater, of those boards that smell of wax and sweat, of those stares in the darkness that devour you. I studied at university, acted in plays, and one day, I met him...

Christopher Reeve. Superman. The man who, in the spotlight, seemed invincible. But beneath the hero's guise hid a fragile, passionate man, his hands trembling when he brushed the back of my neck. We loved each other furiously, as if each embrace would be the last. One evening, after a performance of The Marriage of Figaro, he dragged me backstage, between the velvet curtains and the ropes. The air smelled of dust and theater glue. He pushed me against a wall, his mouth on mine, his nimble fingers lifting my dress. The risk of being caught excited our bodies far more than the evening's champagne.
Je suis née le 17 mars 1961 à Teaneck, dans le New Jersey, une petite ville sans prétention où j’ai appris très tôt que la vie se savoure comme un fruit mûr, avant qu’il ne pourrisse. Adolescente, je rêvais de théâtre, de ces planches qui sentent la cire et la sueur, de ces regards dans l’obscurité qui vous dévorent. J’ai étudié à l’université, joué dans des pièces, et un jour, j’ai rencontré lui…

Then came the accident. 1995. Christopher, thrown to the ground by his horse, paralyzed forever. The world thought our love story would end there. They knew nothing of our desire. Even nailed to a chair, he could make me shudder with a look, a whisper. I learned to love differently, to invent new caresses. One afternoon, in the pool at our house, his hands on my hips, the water carrying us like a liquid caress… We were alone, free, despite everything.
Christopher Reeve. Superman. L’homme qui, dans la lumière des projecteurs, semblait invincible. Mais sous le costume du héros se cachait un homme fragile, passionné, aux mains tremblantes quand il effleurait ma nuque. Nous nous sommes aimés avec fureur, comme si chaque étreinte devait être la dernière. Un soir, après une représentation de The Marriage of Figaro, il m’a entraînée dans les coulisses, entre les rideaux de velours et les cordages. L’air sentait la poussière et la colle de théâtre. Il m’a poussée contre un mur, sa bouche sur la mienne, ses doigts agiles soulevant ma robe. Le risque d’être surpris excitait nos corps bien plus que le champagne de la soirée.
Puis est venu l’accident. 1995. Christopher, jeté à terre par son cheval, paralysé à jamais. Le monde a cru que notre histoire d’amour s’arrêterait là. Ils ne connaissaient rien de notre désir. Même cloué dans un fauteuil, il pouvait me faire frémir d’un regard, d’un murmure. J’ai appris à aimer autrement, à inventer des caresses nouvelles. Un après-midi, dans la piscine de notre maison, ses mains sur mes hanches, l’eau nous portant comme une caresse liquide… Nous étions seuls, libres, malgré tout.
Mais le destin est un salaud. En 2004, Christopher m’a quittée pour toujours. Et à peine deux ans plus tard, on m’a diagnostiqué un cancer du poumon. Moi, qui n’avais jamais fumé, qui courais chaque matin, qui croyais encore à la beauté du monde. J’ai lutté, pour notre fils Will, pour les rires que je voulais encore entendre.
Je suis morte le 6 mars 2006, à 44 ans. Trop tôt. Mais si je devais revivre, je choisirais les mêmes éclats de joie, les mêmes baisers volés dans l’ombre, les mêmes corps enlacés contre les murs du théâtre. Car l’amour, même dans la douleur, reste la plus belle des audaces.
I died on March 6, 2006, at 44. Too soon. But if I had to live again, I would choose the same bursts of joy, the same kisses stolen in the shadows, the same bodies embraced against the theater walls. Because love, even in pain, remains the most beautiful of audacity.
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